[Projet Commun] - [Roman]

Voici la façon dont je conçois Kent Ghôl:

Kent Ghôl :

Origine :

Kent est un humain chanvrecleirvois de la région de Camelot. Il développera une vision de la vie originale, sera guidé par une vocation qui le poussera à refuser la mort et développer des pouvoirs comme sentir le danger imminent, avoir des visions sur les plans ennemis en échange d’un amour de la vie, surtout les bébés et sa santé.

Il est le fils illégitime d’un soldat et une servante du palais royal à Camelot, alors sous domination vaticanaise. Il sera immédiatement abandonné dans la rue et pris en charge dans un orphelinat. Il n’a jamais connu ses parents et a grandi au milieu des orphelins. Ces journées se passaient entre l’école ou il a appris à lire, écrire, compter, bricoler etla religion, les cérémonies religieuses, les corvées (cuisine couture, ménage, rangement, bricolage, lessive...)
Cette vie lui convenait car il vivait entouré d’amis mais, tout comme eux, il soufrait du manque d’avenir car, en temps qu’orphelin il savait qu’il aurait du mal à trouver un moyen d’apprendre un métier, s’acheter une ferme coûte de l’argent et il n’en avait pas…
Du coup, lorsque les orphelins en âge de se battre furent envoyés au front suit à un long discours à la gloire du Créateur...il y alla de bon coeur car ce n'était pas pire que de finir vagabond des rues.

La guerre :

Il s’intégra vite à l’armée car cela ne changeait pas beaucoup de son ancienne vie sauf qu’au lieu d’aller à l’école il apprenait à se battre et qu’en plsu il avait de l’argent donc il pouvait le dépenser pour se faire plaisir dés que l’occasion se présentait.
Au bout de deux mois, il fut envoyé au front et très déterminé à détruire l’Empire Diguo dépeint comme l’ennemi démoniaque à détruire coûte que coûte. Ce pays qui l’avait maintenu en vie, il allait pouvoir le défendre à son tour.
Une fois sur le champ de bataille, il découvrit la peur, l’entraide, la mort de ses amis, l’ivresse du combat...Bref, un enchevêtrement de moments forts, agréables ou désagréables, de moments de bonheurs et de détresse et cela lui convenait, il se savait vivant.
Il fut repéré par un général à cause de son courage, son sens de l’organisation, son application à la tâche et fut envoyé se former pour devenir officier. l’avenir lui tendait les bras.

L’académie de guerre :


Il se retrouva dans un groupe restreint de 4. Lucia, Elric et Franz sont tous les trois issus de familles nobles de différentes régions de Chanvrecleir et ont des points communs. Son passé, son vécu est opposé au leur donc il se retranche et se concentre sur son objectif : être un officier prometteur car son origine sociale va l’empêcher de réussir. Il doit prouver que la naissance ne fait pas tout et qu’il est plus apte à défendre le royaume que cette bande de petits privilégiés.

Ses journées étaient composés de cours notamment la stratégie (qui deviendra sa passion), la communication, la psychologie, la théologie, la gestion, la géographie, les mathématiques et autres trucs utiles pour devenir un bon officier et aussi des temps d’entraînement.
Il eut du mal à s’intégrer au petit groupe car ne possédait pas les codes sociaux ni les centres d’intérêts et était plus à l’aise avec les gardes et les serviteurs. C’est Lucia qui fit le premier pas. Au fil de cette première année, il se mit à les apprécier et ressenti un étrange sentiment vis à vis de Lucia, un truc inconnu vraiment étrange : l’amour. Il le niera jusqu’à la fin du livre.


A Valtakunta :


Le quatuor d’aspirants, devenu un groupe d’amis soudé, est envoyé en stage sur l’archipel de Valtakunta pour travailler la gestion, y compris des foules, faire leurs premières armes...Kent ne s’y sentira pas à sa place parce qu’il ne comprends pas de suite le lien entre surveiller la production, assurer l’ordre social et la défense du royaume.
Il se retrouvera perdu et suivra le mouvement donc réprimera dans le sang une révolte, renvoya travailler un groupe d’esclave qui le refusait dans le sang, attaquera un village la nuit...puis prendra conscience de certaines choses : les esclaves sont comme lui, ils sont juste mal nés, il n’y a aucune raison qu’ils subissent cet enfer...les questions fuseront et il trouvera un moyen discret de les aider. Il s’est trouvé une vocation : libérer les esclaves, mettre fin aux injustices.
L’idée de libérer toute l’île découlera de cet objectif car pour s’assurer que ces esclaves deviennent libres, il va leur falloir leur propre état. Il mettra ses cours au service de ce combat.


Au sein de la révolte :


La prise de conscience fut violente, un vrai électrochoc et il établi vite une stratégie de survie puis d’aide à ce mouvement. Au départ il ne pensait vraiment pas y survivre car les aider c’est trahir. Il établie une stratégie pour devenir un traître discret. Il leur filera des infos les plus précises possibles, des conseils pour s’entraîner à partir de ce qu’il aura vu lorsqu’il sera obligé de les réprimer des mises en garde afin de limiter les arrestations et aider aux évasions (quitte à se faire blesser).
Une fois repéré, il s’occupera des entraînement, élaborera les stratégies et les victoires s’enchaîneront plus régulièrement. Il fera rapidement partie du noyau dur et se sera trouvé à nouveau un groupe d’amis.
Après son combat contre Lucia, il développera ses pouvoirs, devra être beaucoup plus prudent et s’écarter du champ de bataille et se concentrera sur la stratégie, la gestion des troupes, de l’équipement, de vérifier les infos...le travail d’un officier.

Profil psychologique :

Kent ne connaît pas son identité. Il la construira petit à petit au fil de sa vie. Il ne connait pas l’amour car n’en a jamais reçu et ne comprendra pas de quoi il s’agit lorsqu’il le découvrira. Il fera un déni jusqu’à la fin du livre là dessus. Il est habitué à la vie en grand groupe, à être entouré, est courageux, motivé, va d’objectifs en objectifs et gagne vite la confiance de ses proches même s’il doit souvent les perdre et s’en faire des nouveaux. Ce groupe de proches se modifiera à chaque changement de projet, chaque remise en cause. Il se découvrira une haine des injustice et une vision d ela vie le poussant à développer une passion pour la stratégie et une philosophie originale : vie = combat. Il concevra tout evennment de sa vie sous la forme : « objectif-stratégie-victoire » ou « objectif-stratégie-défaite-remise en question-stratégie-victoire ».
C’est ce qui le fera repousser la mort et choisir la vie car dans sa philosophie, la mort est une injustice donc doit être combattu car ça l’a trop fait souffrir, il l’a trop croisé sur sa route.

En cours de roman :

-La complicité du quatuor : son amour inavoué, son rival, son confident.
-Les quelques missions qui lui feront prendre conscience de la situation, de l’injustice.
-La série de questions puis sa décision.
-La rencontre entre lui et Raud.
-La double vie ou l’art de trahir : divulguer des infos, donner des conseils sur ce qu’il aura vu comme défauts lors de ses missions répressions, prévenir afin d’éviter les arrestations, aider à l’évasion de prisonniers.
- Son premier refus d’obéir : torturer un esclave est impossible.
- L’évasion de Raud.
-Comment se faire trahir: Sa propre arrestation avec Raud suite à une dénonciation et leur évasion jsute avant leur exécution.
- Fédérer les différents groupes avec Raud.
-Le combat entre Lucia et Kent (instant drama).
- S’adapter à son état de santé et développer ses pouvoirs.
- Son rôle d’officier jusqu’à l’indépendance car il ne pourra plus se battre mais gérera les troupes, l’équipement, élaborera la stratégie…
- Juste avant l’indépendance : se rends compte qu’il est amoureux de Lucia.

On avait pas dit au départ que Raud étaient orphelin ? Bon c'est pas grave ca a sûrement ete effacé avec réussite critiques de toutes façons, si il a des frères et soeurs morts ca rajoute du drama

Ilo ne me semblait pas que Raud était orphelin donc, du coup, il a une famille de base et des soucis d'esclave de base.
2 de ses frères et soeurs sont morts trés jeunes à cause d'une épidémie et d'une famine et un troisième dans un accident du travail. Avant sa naissanc eil y en a aussi eu 2 de morts. La mort dans ce genre de circonstances (famine, maladie, travail) sont considérés comme des choses normales car ça a toujours été comme ça. Du coup, les personnes qui arrivent à devenir vielles sont rares (il n'y en a qu'un: Orion).
L'orphelin c'est Kent, il vit constamment en grand groupe tout en étant en permanence seul.
Plus sa vie va avancer et plus il se singularisera tout en vivant toujours dans de grands groupes.
Je pense que c'est mieux d'avoir de profils différents, de façon différentes d'arriver à la nécessité de se révolter.

Bon c'est pas mal tout ca xD
Du coup on commence par quoi ?

Si tu es d'accord avec les modifications apportés dans notre discussions MP à propos de l'enfance de Raud, je modifierai son post tout à l'heure.
Sinon, il nous reste à trancher la question du style d'écriture:
On écrit à la place des héros en alternant un chapitre du point de vue de Raud et l'autre de Kent ou à la troisième personne c'est à dire un narrateur extérieur?
l'histoire sera la même mais l'approche sera différente.
A la première personne les réflexions de chacun sur les évennements, les différents alliés...sont plus faciles à transposer et pour décrire les combats de l'un, on le fait par le point de vue de l'autre.
A la troisième personne c'est un narrateur inconnu qui décrit ce qu'il observe sur chaque évenements, situation, personnage en suivant tour à tour soit Raud soit Kent.

Si on fait a la 1ere personnes ca fait pas bizarre si on passe d'un perso a l'autre ?

les types de narrateur il n'y en as pas 36 000
le narrateur personnage (interne subjectif) : c'est un perso qui raconte (comme Zzazread dans WAK!)
le narrateur interne: il est dans la tête d'un perso. il peut changer de tête a chaque chapitre
le narrateur externe : c'est un témoin de ce qu'il se passe
le narrateur omniscient : il peut etre dans la tete de tout les personnages.

apres la notion de subjectivité du narrateur.

A bon ca existe ? Ze zavai pas :o

le choix de naration vient de l'intention de narration. Dans le cas présent, à moin que je ne me trompe, c'est l'histoire que l'auteur veut raconter qui est le plus important. Je recommande donc de ne pas partir sur une type de narration 'original' et d'opter pour ce que fond 90% des romans de fantasy : le narrateur, omniscien, impartial, focalisé... comme dans game of throne

Utiliser le narrateur omniscient sera le plus simple, notamment pour gérer les méchants, poser du suspense.
Du coup on peut alterner les chapitre mais avec ce type de narrateur: il observe et décrit ce qu'il se passe devant lui mais un coup d'un côté, un coup de l'autre sauf lorsque les deux personnages principaux sont ensemble.
Qu'en pensez vous?